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Premier vol électrique d’un chef d’Etat

Écrit par :
Jean-Claude JUNIN

Date de parution :
21 septembre 2021

Lieu :
Alpes Maritimes

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Premier vol électrique d’un chef d’Etat

À bord d’un Pipistrel Velis

Le mardi 14 septembre 2021 restera comme le jour où, pour la première fois, un chef d’Etat, S.A.S. le Prince Albert II de Monaco, aura effectué un vol à bord d’un avion 100% électrique. Cette étape dans la décarbonation du transport aérien rejoint les engagements du Groupe Aéroports de la Côte d’Azur pour parvenir à la neutralité carbone sans compensation à horizon 2030.

 

C’est à bord d’un Pipistrel Velis que S.A.S. Albert II de Monaco a pris place avant de décoller de l’aéroport Nice Côte d’Azur à 9h30 pour un vol d’une trentaine de minutes qui l’aura conduit jusqu’à la principauté qu’il aura pu survoler sans bruit ni aucune émission de CO2 avant de revenir se poser sur le tarmac niçois. « C’est formidable de voler sans émettre de CO2. Le développement de l’aviation électrique doit se poursuivre afin que les vols de demain puissent intégrer l’utilisation de moteurs électriques, qu’ils soient alimentés par batterie ou par pile à combustible », a-t-il réagi à sa descente de l’avion, piloté par Raphaël Domjan, pilote de l’avion solaire SolarStratos et explorateur ayant réalisé le premier tour du monde à l’énergie solaire à bord du catamaran PlanetSolar.

Premier vol électrique d’un chef d’Etat

À bord d’un Pipistrel Velis

Le mardi 14 septembre 2021 restera comme le jour où, pour la première fois, un chef d’Etat, S.A.S. le Prince Albert II de Monaco, aura effectué un vol à bord d’un avion 100% électrique. Cette étape dans la décarbonation du transport aérien rejoint les engagements du Groupe Aéroports de la Côte d’Azur pour parvenir à la neutralité carbone sans compensation à horizon 2030.

 

C’est à bord d’un Pipistrel Velis que S.A.S. Albert II de Monaco a pris place avant de décoller de l’aéroport Nice Côte d’Azur à 9h30 pour un vol d’une trentaine de minutes qui l’aura conduit jusqu’à la principauté qu’il aura pu survoler sans bruit ni aucune émission de CO2 avant de revenir se poser sur le tarmac niçois. « C’est formidable de voler sans émettre de CO2. Le développement de l’aviation électrique doit se poursuivre afin que les vols de demain puissent intégrer l’utilisation de moteurs électriques, qu’ils soient alimentés par batterie ou par pile à combustible », a-t-il réagi à sa descente de l’avion, piloté par Raphaël Domjan, pilote de l’avion solaire SolarStratos et explorateur ayant réalisé le premier tour du monde à l’énergie solaire à bord du catamaran PlanetSolar.

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Pour les aéroports de la Côte d’Azur, accueillir ce vol 100% électrique conforte leur ambition d’être le laboratoire de l’aéroport de demain et d’accompagner la mutation du transport aérien vers la sobriété carbone.

« Les Aéroports de la Côte d’Azur ont été pionniers en matière de neutralité carbone. Le Groupe est le premier de France à avoir engagé sa transformation énergétique et se trouve aujourd’hui le plus avancé en matière de neutralité carbone. Si nos efforts portent essentiellement sur nos émissions directes, qui sont sous notre contrôle, nous agissons autant que possible sur nos émissions indirectes, celles des avions en phase d’approche, de roulage ou de décollage, pour encore plus réduire l’empreinte environnementale du transport aérien. Cet appareil qui n’est plus un prototype a toute sa place sur des aéroports comme celui de Cannes ou celui de Saint-Tropez pour être utilisé par des aéroclubs par exemple. Accompagner les ruptures technologiques et anticiper les besoins futurs de l’aviation pour une performance énergétique encore plus forte, c’est notre engagement pour notre territoire et pour les générations futures », explique Franck Goldnadel, président du directoire des Aéroports de la Côte d’Azur.

 

Dans le détail, l’aéroport Nice Côte d’Azur, dont la principauté de Monaco est actionnaire, a réduit de 83% ses émissions en 20 ans. Il a planifié de nouvelles mesures, telles que la suppression du gaz dans ses terminaux et dans son pôle technique, le développement de surfaces photovoltaïques ou la décarbonation des engins spéciaux pour lui permettre de parvenir à son objectif de ne plus émettre de gaz à effet de serre en 2030. Mieux, dès 2034, grâce à des puits de carbone naturels financés et entretenus sur des communes limitrophes, l’aéroport deviendra un absorbeur du CO2 émis par les avions s’y posant, prolongeant ainsi ses efforts au-delà de son seul périmètre.

Pour les aéroports de la Côte d’Azur, accueillir ce vol 100% électrique conforte leur ambition d’être le laboratoire de l’aéroport de demain et d’accompagner la mutation du transport aérien vers la sobriété carbone.

« Les Aéroports de la Côte d’Azur ont été pionniers en matière de neutralité carbone. Le Groupe est le premier de France à avoir engagé sa transformation énergétique et se trouve aujourd’hui le plus avancé en matière de neutralité carbone. Si nos efforts portent essentiellement sur nos émissions directes, qui sont sous notre contrôle, nous agissons autant que possible sur nos émissions indirectes, celles des avions en phase d’approche, de roulage ou de décollage, pour encore plus réduire l’empreinte environnementale du transport aérien. Cet appareil qui n’est plus un prototype a toute sa place sur des aéroports comme celui de Cannes ou celui de Saint-Tropez pour être utilisé par des aéroclubs par exemple. Accompagner les ruptures technologiques et anticiper les besoins futurs de l’aviation pour une performance énergétique encore plus forte, c’est notre engagement pour notre territoire et pour les générations futures », explique Franck Goldnadel, président du directoire des Aéroports de la Côte d’Azur.

 

Dans le détail, l’aéroport Nice Côte d’Azur, dont la principauté de Monaco est actionnaire, a réduit de 83% ses émissions en 20 ans. Il a planifié de nouvelles mesures, telles que la suppression du gaz dans ses terminaux et dans son pôle technique, le développement de surfaces photovoltaïques ou la décarbonation des engins spéciaux pour lui permettre de parvenir à son objectif de ne plus émettre de gaz à effet de serre en 2030. Mieux, dès 2034, grâce à des puits de carbone naturels financés et entretenus sur des communes limitrophes, l’aéroport deviendra un absorbeur du CO2 émis par les avions s’y posant, prolongeant ainsi ses efforts au-delà de son seul périmètre.

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