L’affaire débute en 1964, lorsque Giorgio reçut la permission de tester une nouvelle technique pour la construction d’une grande plateforme de 400m² qui sera implantée à quelques kilomètres de la côte italienne.
Avec des tubes d’acier et du béton, l’ingénieur finit par réaliser le projet. Mais il décide de faire reconnaître son île comme un Etat indépendant. Véritable anarchiste épris de liberté, Giorgio dote sa « République » d’un drapeau, d’armoiries, d’un timbre postal, d’une monnaie et même de sa propre langue !
La République espérantiste de l’île de la Rose attire alors de nombreux fêtards qui feront de la plateforme une véritable boîte de nuit à ciel ouvert. La petite utopie hors du temps attire l’attention du gouvernement italien, qui n’a pas apprécié la constitution illégale de ce nouveau pays.