Au théâtre, « A 50cm de toi »

« A 50cm de toi » est un spectacle théâtral et chorégraphique atypique. C’est une histoire d’amour impossible entre une jeune femme juive et un officier allemand passionné de littérature dans un Paris en pleine tourmente pendant la seconde guerre mondiale.

C’est aussi le destin d’un homme et d’une femme, l’épopée d’un peuple sacrifié, la quête de nos origines et les secrets qui nous habitent tous. La pièce nous amène à réfléchir sur nos propres vies, comment elles sont traversées par nos désirs, nos traditions, nos espoirs et comment il nous est toujours possible de changer le cours des choses. Chaque pensée intime, chaque secret découvert ouvrent ici un nouveau champ de la liberté.

Les personnages, portés par une magnifique histoire d’amour déroulent sous nos yeux le fil de leur passion et déplient une nouvelle carte de l’histoire.

La danseuse chorégraphe révèle l’indicible des personnages. Elle est tour à tour guide et témoin des situations. Elle s’en prend à l’inhumanité dans ce qu’elle a de plus obscène pour en restituer des formes inédites.

La chanteuse nous ouvre les portes d’un tourbillon jubilatoire d’émotions qui ne doit rien au hasard mais à sa chaleureuse présence et à l’alchimie qu’elle produit sur scène.

Quelques mots de l’auteure

« J’ai toujours un pincement au cœur au moment de la mise en scène de mes pièces. Mes mots sortis du silence de ma tête, parfois arrachés un à un de mes pages vierges prennent vie sur scène, en lumière et en voix. Mes personnages couchés sur du papier deviennent vivants. Leurs regards, leurs visages, leurs façons de se déplacer peuvent parfois me surprendre. Je suis souvent inquiète, troublée mais toujours étonnée, ravie et jamais déçue. Ce fut plus vrai que jamais avec cette distribution ! Ce fut même le vertige ! Aux premiers mots incarnés par les comédiens, aux premiers pas de danse de la chorégraphe, aux premiers sons offerts par la chanteuse, j’ai reconnu chacun d’entre eux. Merci à ces interprètes que sont Sandra Delrieu, Laure Garitte, Staména Ianeva et Robert Vidal ! » Françoise OLIVIER

L’entrée est libre