Le zoologue ukrainien Serguiï Jyla indique ceci : « Les chevaux de Przewalski vivent dans la réserve de Tchernobyl à l’état sauvage sans aucune alimentation particulière, et parmi les loups. Par conséquent, ils vivent dans une écologie similaire et ont un comportement similaire au cheval sauvage, qui vivait ici à l’époque préhistorique de la forêt Tarpan. »
L’accident de Tchernobyl à offert un véritable terrain de jeu aux scientifiques des alentours. Ainsi, la réintroduction d’une espèce aussi importante que celle-ci permet aux naturalistes d’étudier la conservation de la diversité biologique. Plutôt paradoxal quand on pense à la catastrophe de 1986.