Soutien aux otages
La Ville de Grasse à leurs côtés
À l’initiative du CRIF Sud-Est en présence de son président Jérôme Culioli le bus #BringThemAllHome, à l’effigie des otages israéliens à fait une halte sur le cours Honoré Creps. Si les premières libérations sont un soulagement, (110 otages ont été libérés par le Hamas, dont 80 dans le cadre de l'accord de la première trêve avec Israël).il faut continuer de se mobiliser pour demander la libération de tous les otages.
Malheureusement depuis la reprise des hostilités les terroristes du Hamas, et la rupture des négociations, le Hamas aurait souhaité faire taire les femmes détenues en otage, possiblement victimes de violences sexuelles. « Il semble que l’une des raisons pour lesquelles ils ne veulent pas libérer des femmes qu’ils retiennent en otage et que cette pause a volé en éclats, c’est qu’ils ne veulent pas que ces femmes racontent ce qui leur est arrivé pendant leur détention », a déclaré lundi 4 décembre devant la presse Matthew Miller, porte-parole du département d’Etat.
Le journal Libération cite le porte-parole américain qui s’est refusé à davantage de précisions en mettant en avant le caractère sensible de la question, mais a déclaré que les Etats-Unis n’avaient « aucune raison de douter » des informations sur des violences sexuelles imputées au Hamas. « Il y a très peu de choses dont je pense que le Hamas ne soit pas capable s’agissant du traitement des civils et en particulier du traitement des femmes », a-t-il ajouté…
A ce jour 19 civiles dont une mineure ainsi que cinq femmes militaires étaient toujours retenues en captivité à Gaza. Une majorité d’entre elles ont moins de 30 ans…
Le Hamas a « rejeté » ces accusations, les qualifiant de « mensonges ».
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