Les jardins d’enfants des Bengalis sauvés !

Les jardins d’enfants des Bengalis sauvés !

Grace à une proposition de loi de Michèle Tabarot

      Ils étaient en effet les victimes de la loi de 2019 pour une école de la confiance et de l’abaissement de l’âge de l’instruction obligatoire de 6 à 3 ans qui n’avait pas anticipé les conséquences pour ces structures.

      Les jardins d‘enfants font partie intégrante de l’histoire de l’instruction dans notre pays. Les premiers ont vu le jour au début du siècle dernier et nous en comptons encore deux-cent cinquante en France qui accueillent plus de huit mille enfants.

     Ils ont développé des vocations de mixité sociale mais aussi inclusive pour les enfants en situation de handicap avec un continuum de prise en charge particulièrement bénéfique.

      L’enjeu était important. L’urgence réelle. Sans modification législative, ces jardins d’enfants étaient menacés de fermeture à la prochaine rentrée scolaire…

Pour toutes ces raisons, la pérennisation des jardins d’enfants est une excellente nouvelle.

     Souvent pris en exemple, ils ont toute leur place dans notre système éducatif aux côtés des écoles maternelles. Ils sont une chance pour l’enfance et l’éducation.

     Leur sauvegarde est un immense soulagement pour les communes, les associations, les professionnels et les parents des enfants accueillis.

    Dans le cadre d’une initiative transpartisane cosignée par quarante-cinq Députés, ce texte concernant à l’origine le jardin d’enfants des Bengalis à Grasse dont Michèle Tabarot avec le Maire Jérôme Viaud voulaient empêcher la fermeture, a été soutenu par de larges majorités à l’Assemblée nationale comme au Sénat.